La contradiction est flagrante entre « Les auditeurs présents au rendez vous » selon Le Télégramme et « 200 personnes au weekend des Musicales » selon Ouest France. 40 personnes pour le premier concert, 60 pour le deuxième et 70 pour le troisième soient...
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Puisque le sujet est sur la table et en quelque sorte d’actualité à Quiberon, il n’est pas inintéressant de s’interroger un peu plus sur cette question des « Musicales de Quiberon » supposées projeter Quiberon dans « l’excellence » selon les termes mêmes...
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Suite à notre précédent billet sur « Les Musicales » qui « coûtent un bras » aux Quiberonnais, un lecteur habituel de ce blog nous a obligeamment fourni une bande son de Mr Gallois se tapant l’incruste lors de la réunion publique de Mr Bruno Le Maire...
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Il nous est annoncé l’ouverture de la billetterie des «Musicales de Quiberon» Cette annonce nous est faite dans la presse locale par le directeur artistique et chef d’orchestre de l’association éponyme qui a réussi à obtenir la modique somme de 110 000...
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Opération de communication de la municipalité dans Ouest France du 23 juillet, comme d’habitude. Communication ridicule, tombant totalement à plat, comme d’habitude. Sur le choix de la date du 21 juillet : « On a choisi cette date parce qu'on se retrouvait...
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Le feu d'artifice du 21 juillet n'a pas connu de raté, Mr le Maire a cru voir 200 000 personnes massées sur le boulevard Chanard et son adjoint au tourisme croit avoir fait preuve d'une redoutable capacité à négocier, Le prestataire HTP s'en tire à bon...
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« 21 juillet 1795, Hoche n'a pas ordonné le massacre des martyrs à Auray, la décision a été prise par Tallien alors que Hoche était en route pour Paris. De plus après la reddition des émigrés Hoche leur a accordé une trêve afin d'évacuer vers nos îles...
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La réalité dépasse la fiction. Alors que nous rédigions notre tout dernier billet (" C'est la faute à Voltaire " ) nous n'imaginions pas une seule seconde que la date du 21 juillet ait pu être retenue par la municipalité pour un "nouveau tir" en remplacement...
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« C’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau c’est la faute à Rousseau ». Cette chanson prêtée à Gavroche par Victor Hugo lors de l'Insurrection républicaine de 1832 à Paris, conviendrait à merveille à Mr le Maire de Quiberon. Certes la Prise...
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