C'est la mère Michel qui a perdu son chat
Qui crie par la fenêtre à qui le lui rendra
C'est le Père, l'eusses-tu cru
Qui lui a répondu
Allez la mère Michel vot' chat n'est pas perdu
Sur l'air du tra la la la
Sur l'air du tra la la la
Lundi dernier, un fidèle lecteur de ce blog m’informait de ce que la « la 5° adjointe à la politique sportive et éducative, par ailleurs directrice de l'école publique avait démissionné de son mandat », information confirmée par elle au Télégramme le 6 février, démission sur laquelle elle choisissait d’abord de ne pas s’expliquer, puis de se réfugier derrière le paravent bien pratique des « raisons personnelles », paravent ne correspondant nullement aux explications qui m’avaient aussi été obligeamment fournies par le dit lecteur.
Hors des raisons de santé, ce que nous ne souhaitons bien entendu pas, la démission d’un adjoint à peine neuf mois après la mise en place de la nouvelle municipalité ne saurait être regardée comme anodine, pas plus que l’on ne saurait se satisfaire de ce contrefeu de « raisons personnelles ».
Il y a bien entendu toujours des raisons personnelles à présenter sa démission mais en règle générale peu de gens ravis de ce qu’ils font, enchantés de leur travail, satisfaits des résultats et comblés par l’ambiance régnant dans l’équipe à laquelle ils appartiennent, en parviennent à une telle extrémité aussi tôt après leur prise de fonctions.
Madame Michel nous dit donc n'avoir perdu ni foi en la mission pour laquelle elle s’était engagée pour une durée de cinq ans, ni confiance en l’équipe à laquelle elle s’était associée, ni capacité à s’entendre avec un ancien président de l’Ogec.
Elle n’a peut-être et après tout que perdu son chat et ne s’en remet pas.
Sur l'air du tra la la la, sur l'air du tra la la la
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PS :
Joli score en tout cas pour Mr le Maire : un futur 8ème adjoint et une 5ème adjointe au tapis en moins d’un an !