Selon ce qui nous a été rapporté du conseil du 12 avril le contribuable quiberonnais serait aujourd’hui plus riche de 251 000 €.
La fameuse dette n’en était donc pas une, les devinettes n’avaient donc pas lieu d’être.
Hors la question des comptes utilisés, les précisions apportées en conseil sur le sens des écritures demandées par le Trésorier font qu’effectivement il n’y aura pas de décaissement consécutif à celles-ci.
L’affaire en est-elle totalement close pour autant ?
Eu égard à l’aspect malgré tout très confus des explications qui auraient été données jeudi, il va falloir attendre la publication du procès-verbal pour savoir ce qu’il en est exactement.
Jo le Tacaud